A EVITER A TOUT PRIX
- Omettre de prévenir son organisme de prévoyance d’une pratique qui modifierait le risque couvert : sports dangereux, long séjour à l’étranger…
- Ne pas solliciter son assureur suite à des changements professionnels importants (variation importante de son chiffre d’affaires , changement de statut BNC-BIC vers SELARL par exemple) et personnels (mariage divorce, naissances, donc autant d’incidences sur la protection de la famille ou nécessitant un changement des clauses bénéficiaires pour des garanties décès).
- Omettre des antécédents médicaux au moment de la souscription ou modification (augmentation de garanties) de sa prévoyance (Art L-113-8 et 113-9 du codes Assurances pouvant entrainer la nullité du contrat)
- Avoir un premier arrêt de travail ou attendre 50 ans pour commencer à réfléchir à souscrire une prévoyance.
- Résilier son contrat prévoyance en cours pour souscrire auprès d’un autre organisme sans avoir au préalable demandé à ce dernier l’acceptation médicale sans réserve de son dossier.. Vous êtes peut-être en parfaite santé mais des examens par exemple exigés en protocole par l’organisme de prévoyance (biologie, ECG…) pourraient révélés une pathologie ignorée. Ou tout simplement votre appréciation sur des antériorités médicales ne sera pas celle du Médecin Conseil.Si votre conseiller n’accorde aucune importance à tout protocole médical avant la résiliation du contrat en cours … passez votre chemin !